… qui sait bien que je ne crois plus guère en lui (ou alors, peut-être, s’il avait une bonne excuse, comme dit Woody Allen) mais grâce auquel j’ai, malgré tout, aujourd’hui
– passé un très beau moment en compagnie du chœur de chambre Imagô et de l’Ensemble vocal de Bourgogne, interprétant le magnifique Requiem de Duruflé (1961)
– repensé à un drame de la jalousie… sisi, cela a un rapport avec Dieu : à vous de lire cette histoire, ici…
Bonne fin de dimanche (mais pas de week-end ! :-))