Une bonne nouvelle est tombée ce matin dans ma BAL :
Inutile de vous dire ma joie car le Prix Albertine Sarrazin figure sans doute aucun dans le Top Five des Graals des nouvellistes amateurs… et telle Icare, mais bien ignifugée, j’en ai frôlé le zénith cette fois-ci ! Je me rappelle avoir lu, il y a quelques années et alors que je me lançais dans l’écriture, le recueil des nouvelles lauréates de cette année-là… et je me demandais quel effet cela me ferait de voir mon propre nom imprimé sur la couverture, persuadée que j’étais en train de fantasmer… Les fantasmes sont certes faites pour ne jamais être réalisés, dit-on : certes… mais la règle souffrira l’exception qui me réjouit aujourd’hui ! avec une nouvelle qui me plaît bien par ailleurs et que je suis heureuse de bientôt pouvoir partager 🙂
3 réponses à Albertine et moi