C’est avec la page 31 du dernier roman d’Emmanuelle Urien que je participe à la sympathique initiative de Sophie :
« Le tournis incessant de la douleur et de la haine, le hurlement profond qui m’enjoignait de mettre fin à tous ce manège, cette balançoire qui continuait de s’agiter, narquoise, au-dessus de ma tête, et m’assurait que jamais, plus jamais, je ne serais de ce monde, et que j’étais désormais promise aux souffrances les plus effroyables, celles que j’avais méritées en ne tenant pas compte de la réalité. »
– je vous rassure, il y a des passages rigolos aussi, dans ce livre ^^